Goodman High School
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Forum RPG, école de super-héros.
 
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 La liberté a parfois les mains rouges de sang.

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2 participants
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Fola

Fola


Date d'inscription : 07/01/2012
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MessageSujet: La liberté a parfois les mains rouges de sang.   La liberté a parfois les mains rouges de sang. EmptyDim 8 Jan - 12:07


Fola. Écrivons sans grâce, mais avec notre sang.


La liberté a parfois les mains rouges de sang. 306239BAHFOLA


« Minimum syndical »

Nom : MacFhlaide
Prénom : Daithe Maura
Sexe : Féminin
Age : 16 ans
Date de naissance : 23/06
Nationalité : Irlandaise
Poste/pouvoir(s) :Peut contrôler son sang (en faire des armes, en solidifier une partie) et celui des autres uniquement si leur sang à été en contact avec le sien. Elle ne le contrôle que très peu pour le moment, elle ne peut encore l’utiliser qu'instinctivement lorsqu’elle est en danger ou lors de fortes émotions.
Etes-vous humain d’ailleurs ? : Oui
Arrivée dans cette école : Quelques jours

« Physique »

Couleur de peau : Blanche parsemée de taches de rousseurs
Couleur de cheveux : Rousse
Couleur des yeux : Vert
Taille : 1m62
Corpulence : Fine
Particularités physique : Un tatouage avec marqué « Fola » sur le bas du dos

« Personnalité »

Caractère : Mademoiselle est hautaine, mademoiselle est colérique, mademoiselle est impossible à supporter quoi. Petite princesse, voilà ce qu’elle est. Prosternez vous, elle est là, sa beauté doit vous couper le souffle, elle est la plus belle, qu’elle répète. Daithe peut passer des heures à se recoiffer devant le miroir, mais ne lui dites pas de se dépêcher, et appelez la Mademoiselle, que diable. Souffrez de vos blessures causées par la bagarre avec vos amis, ou plutôt vos anciens ? Elle vous a convaincu d’avoir entendu au tournant d’un couloir une discussion très saugrenue dont vous étiez le centre. Vous avez mal, elle s’en délecte. Ne négociez pas, ne discutez pas, elle aura le dernier mot, elle ne change pas d’avis, pire qu’une mule. Mais elle vous attire, elle dégage quelque chose que vous ne comprenez pas. Peut-être est-ce le fait qu’elle ne s’arrête pas au strique minimum ? Elle continue encore et encore jusqu'à quand elle trouve ça parfait, avant de recommencer après. Ou le fait qu’elle se souvient de chaque détail, chaque variation. Fola pourrait recréer le monde, elle aime partir de rien pour arriver à quelque chose de fabuleux. Mais elle est aussi courageuse, elle ne se laisse pas diriger par ses émotions et se dépasse toujours surmonter les obstacles. Elle est toujours ponctuelle, jamais en retard, jamais en avance.

Passions : Diriger, manipuler les gens
Aime : Elle-même, enmerder les gens, et si possible, faire couler le sang
Déteste : Être manipulée, qu’on la dénigre
Actuellement amoureuse : Non
Préférences : Elle ne sait pas trop
Douée en : Manipulation
Nulle en : gentillesse


« Questionnaire inutile auquel le proviseur tient énormément »

Faites-vous partie d’une famille de super-héros (ou vilain, ou alien, ou quoi que ce soit qui sorte de l’ordinaire) ou un membre de votre famille en est-il un?
→ A part un ancêtre qui hante encore ce monde, rien.

Votre talent hors du commun (hors pouvoirs)? :
→ Une manipulation très facile des gens

Votre but d’avenir (super-héros, super-vilain, second, sbire, caissier…)? :
→ Super Vilaine

Ce que vous espérez en entrant dans cette école :
→ Retrouver mon passé et écrire mon futur.

Un dernier mot? :
→ Adorez-moi.

« Sors de l’ombre »

Pseudo/surnom : Neko
Sexe : Féminin
Age : 15 ans
Avatar : Flaky - happy tree friends
Aimeriez-vous être un super (ou en êtes-vous un)? : Ouais, j’adorerai
Aimeriez-vous être un élèves (ou prof ou autre) de cette école? : Oui 8D
Votre super pouvoir : Me faire haïr des gens plus vite que la lumière
Mot de la fin pour vous également (parce que je suis super trop gentil) : Point
Base by CANDIDS / Modifié par Strange


Dernière édition par Fola le Dim 8 Jan - 14:48, édité 7 fois
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Fola

Fola


Date d'inscription : 07/01/2012
Messages : 4

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MessageSujet: Re: La liberté a parfois les mains rouges de sang.   La liberté a parfois les mains rouges de sang. EmptyDim 8 Jan - 12:08


Story teller
Un crissement de pneu, des hurlements de peur et de douleur, une tache rouge qui s’agrandit, puis le noir qui recouvre tout.

Daithe se relève en hurlant, faisant voleter sa chevelure rousse autour d’elle. Elle halete et tente de ralentir les battements de son cœur. Elle se trouve dans une chambre immaculée, sûrement un hôpital, car ses avants bras sont entourés de bandages légèrement sanguinolents. La porte s’ouvre en grinçant, et une infirmière blonde fait son apparition.
« Bonjour Mademoiselle, comment allez-vous aujourd’hui ?
- Je veux savoir où je suis.
- Vous vous trouvez à l’hôpital Notre-Dame de Cashel, à la ville du même nom. »

La jeune fille rousse regarde dans le vide, ce nom ne lui disait rien, pourquoi était-elle ici ? Elle ne se souvenait de rien, à part de son nom. Qui était-elle, avait-elle une famille ? Tout cela restait sans réponse. Elle fouillait sa mémoire sans relâche quand une voix la sortie de sa transe.
« Mademoiselle ? Tout va bien ?
- Non pauvre sotte, je ne me souviens de rien !
- Daithe ! Ne parle pas comme ça au personnel soignant ! Laissez nous Aindreas, je dois parler à ma petite-fille. »
L’infirmière s’en va, laissant un silence presque mortuaire dans la pièce. Daithe dévisage l’intruse, une vieille dame aux cheveux blonds presque blancs, dont le visage était marqué par le temps. La jolie rousse finit par briser le silence :
« Vous êtes donc ma grand-mère… Où est le reste de ma famille ?
- Alalah, ma petite chérie, c’est un grand malheur qui s’est abattu sur notre famille »
Il s’en suivit un long et déprimant récit, sa famille s’était mis en tête d’aller visiter la cathédrale de Cashel, mais ils avaient eu un accident de voiture. Ils étaient tous morts, mais elle s’en était miraculeusement sortie idem, seul Dieu sait pourquoi. Après cela, Siobaigh, car la vielle dame s’appelait comme ça, emmena sa descendance dans son manoir de Limerick.

Cela faisait déjà un mois que Daithe habitait la résidence de sa grand-mère. De multiples médecins étaient venus pour comprendre son amnésie. Mais il fallait s’y résoudre, sa mémoire était définitivement perdue. Cet après-midi de juin, son anniversaire arrivant à grands pas, la jeune fille sortit en ville, afin de compléter sa garde-robe. Dans chaque boutique, elle essayait tout, rien n’était suffisamment beau pour sa personne, il lui fallait des habits qui la feraient briller de milles feux, rien n’était trop peu pour son ego. La nuit était tombée quand elle finit ses emplettes. Elle rentrait d’un pas vif, mais au dédale d’une ruelle sombre, elle sentit une main l’entraîner. Elle s’écorcha la main en tombant, et elle releva la tête afin de voir le nuisible. Un homme, gros, horrible, des cernes et le teint pâle se tenait devant elle. Dans sa main, un couteau réfléchissait la faible lueur du lampadaire.
« Alors ma mignonne, on se ballade seule ? Tu vas être bien gentille hein, et te laisser faire pendant que je profiterais de toi. Puis tu me donneras tout ton argent. Sinon, le couteau que je tiens la se fera un plaisir de glisser sur ta gorge.
- Va te faire foutre gros porc ! »
Daithe tenta de se relever, faisant saigner un peu plus sa blessure, mais son agresseur se jeta sur elle. Elle mit sa main devant elle, et elle cria. Le sang se mit à couler abondamment. Mais il ne retomba pas au sol, il se forma de grandes pointes acérées et le violeur s’empala dessus. Les pics se liquéfièrent doucement, laissant le cadavre retomber au coté de la fillette effrayée. Elle se leva, rassembla ses sacs, puis pris la fuite en direction du manoir, laissant derrière elle la ruelle ensanglantée.

Après cet épisode fâcheux, Daithe ne sortit plus et trouva un nouveau jeu : elle terrorisa tous ses professeurs, elle passait des rumeurs sur eux, comme quoi un tel avait dit ça, l’autre avait essayé de la toucher, sa grand-mère les trouvait pathétiques. Résultat, ils démissionnaient tous, et de même pour le personnel du manoir. Son pouvoir ne se manifestait plus, et pourtant, elle n’essaya pas qu’une fois. Un soir, alors qu’elle regardait sa main meurtrie, Siobaigh vint la voir.
« Ma chérie, cela ne peut plus continuer ainsi !
- Je n’ai rien fait ! Monsieur Smich était un incapable ! Il ne savait rien !
- Et tout le personnel du manoir ?
- Ils m’ont manqué de respect.
- Ma chérie … Enfin, nous avons épuisé tous les professeurs de la région. J’ai un ami qui habite aux Etats-unis, il propose que tu viennes chez lui, les professeurs sont très réputés là-bas.
- Je ne veux habiter que dans une suite. Je refuse d’habiter une maison minable.
- Ne t’inquiète pas, il vit dans un manoir dans le centre de New York. Tu n’auras aucun problème. Commence à rassembler tes affaires, tu pars demain.
- Bien. »
La jeune rebelle attendit que son aînée quitte la pièce, puis elle partit faire les yeux doux à un employé, afin qu’il fasse sa valise. Risquer d’abîmer ses ongles, quelle horreur, autant laisser faire ça à son esclave, surtout que les mâles étaient particulièrement sensibles à sa beauté divine.

Trois heures déjà que Daithe se trouvait aux Etats-Unis. Les gens la dévisageaient à cause de sa chevelure et de ses yeux, elle détestait ça. Mais son pouvoir s’était manifesté : en sortant de l’aéroport, un homme l’avait bousculé, entaillant son visage avec sa valise, et elle été tombé sur la chaussée, alors que les voitures roulaient à toute vitesse. Mais son sang avait coulé, et s’était accroché à poteau pour la tirer en arrière et la faire retomber sur le trottoir. Il était ensuite revenu dans son corps comme si de rien n’était. Heureusement pour elle, personne n’avait rien vu, ils ne se préoccupaient que d’eux. Des cartons s’empilaient dans sa nouvelle chambre, et il n’y avait que deux serviteurs dans cette petite maison. Fort heureusement pour elle, l’un d’eux avait été manipulé comme il le faut, et il venait dans une demi-heure pour faire tout le boulot. L’activité à l’ordre du jour était maintenant de se recoiffer, il faisait horriblement humide, et ses cheveux bouclaient dans un désordre irréel. Elle se coiffait encore lorsque le garçon arriva, et toujours lorsqu’il repartit. La coiffure ne lui plaisait jamais, tout était toujours à recommencer. Elle mangea à peine le soir, et elle s’occupa toute la nuit de sa chevelure.

Les jours suivants s’enchaînèrent et se ressemblèrent, Daithe passait son temps à charrier et manipuler ses nouveaux professeurs. Mais ils étaient plus résistants que ceux d’Irlande. L’ami de sa grand-mère aussi, il a osé l’envoyer un jour de pluie acheter du pain. Elle avait rechigné, puis accepter, elle aurait des cours en moins, et son professeur l’insupportait. Elle avait donc pris son manteau et était partie affronter les éléments. Elle avait eu une Cookie gratuit à la boutique, sa manipulation avait fonctionné à merveille. Elle passa devant une boutique de tatouage et sentit son sang battre dans ses veines. Elle avait envie d’entrer dans la boutique, il le fallait. Elle pénétra en tremblant, comme guidée par une force.
« Bonjour mademoiselle, je peux vous aider ?
- Je … je voudrais un tatouage.
- Bien, où et quoi ? »
Elle resta silencieuse quelque temps, puis son sang battit plus vite, et un mot s’initia dans son esprit : Fola. Du gaélique, le sang, comme celui qui coule dans ses veines et qui la dirige.
« Je … Fola, en bas du dos. S’il vous plait. »
Lorsqu’elle l’eu, elle souffrait mais elle était heureuse, elle se sentait bien et comme enfin complète. Elle ne dîna pas ce soir là, elle resta dans sa chambre à regarder le sang qui saignait de sa plaie. Il luisait doucement, comme s’il la remerciait et la consolait.

Elle avait pris l’habitude de sortir le soir, les lumières du parc lui rappelaient la douceur de l’Irlande. Un soir qu’elle regardait les étoiles, un homme aux cheveux argentés s’approcha.
« Alors jeune fille, on est seule ? »
Elle l’ignora. Elle haïssait les Américains, ils se comportaient de manière horrible avec elle, surtout les professeurs. Ils ne se laissaient pas manipuler, quelle grossièreté !
« On a perdu sa langue ? En même temps, il y a de quoi, les étoiles sont tellement belles ce soir !
-Mais leurs beautés sont ternies par votre présence, dégage.
-Ne soit pas si méchante ma petit, il faut profiter de la vie ! »
Elle en avait marre, sa main la démangeait et son sang battait un peu plus vite dans ses veines.
« Mais dis moi, que fais tu ici ? Ce n’est pas un endroit pour toi. »
Il l’agaçait, elle était en colère, elle voulait le tuer.
Ploc. Une goutte rougeâtre tombe au sol, suivi d’une autre. Son sang coule dans sa main et commença à se transformer. Un long couteau prenait forme peu à peu sous les yeux de la jeune fille. Sa colère se volatilisa, et laissa place à la stupeur. Le couteau coula, arrosant sa robe. Le sang était redevenu ce qu’il était : Liquide vital pour l’homme. Elle leva les yeux vers l’homme. Il la regardait avec des yeux intéressés, fouilla un instant dans sa poche, et lui tendit une carte.
« Tiens, viens demain à 15 heures à l’adresse, avec tes affaires. C’est une école pour des gens comme toi. Et ne t’inquiète pas pour tes parents, montre leur juste la carte, ils te laisseront venir. »

Il se leva, et disparut sans rien n’ajouter. Daithe regardait la carte et l’endroit où l’homme se trouvait avec des yeux médusés. Elle grelottait doucement, peur ? Froid ? Fatigue ? Un peu des trois. Elle prit ses affaires, et rentra vite chez son hôte, pour se délester de sa robe maculé de rouge.

Le lendemain, tout se passa comme l’étranger avait dit. L’ami accepta sans rien demander qu’elle aille étudier là-bas. Un garçon l’aida à rassembler ses affaires, et elle partit. Son passé trouble allait peut être pouvoir être éclaircie dans l’établissement.

A son arrivé, on la dirigea dans un bureau, où l’homme d’hier l’attendait.
« Je vois que tu es venue, nous allons pouvoir finaliser ton inscription ! »
S’en suivirent les modalités obligatoires :Nom, âge, famille.
« Tu sais, nous sommes une école de super heros, ton identité doit rester secrète, choisit un pseudonyme, il faut que tu commences à t’y habituer.
- Fola »
Il n’y avait pas d’hésitation dans la voix, elle en était sûre. Maintenant, elle serait Fola, la Daithe d’avant n’existait plus, elle allait écrire son futur dans cette école.




Dernière édition par Fola le Dim 15 Jan - 13:15, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: La liberté a parfois les mains rouges de sang.   La liberté a parfois les mains rouges de sang. EmptyDim 8 Jan - 13:51

Désolé de ne pas avoir posté plus tôt!
Bug avec l'odi, tout ça.
Bref, Strange t'as passé le message, donc je n'ai plus rien à dire à part, j'ai hate de lire l'histoire!

P.S.: Et bienvenue également, ahem... J'avais oublié.
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Fola

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MessageSujet: Re: La liberté a parfois les mains rouges de sang.   La liberté a parfois les mains rouges de sang. EmptyDim 8 Jan - 19:13

Voila, j'ai modifié un peu le caractère et expliqué mieux le pouvoir comme tu me l'avais demandé. J'ai aussi posté le début de l'histoire, comme ça, s'il y a un gros problème, ça sera plus facile à corriger. Merci beaucoup au fait o/
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The Director

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MessageSujet: Re: La liberté a parfois les mains rouges de sang.   La liberté a parfois les mains rouges de sang. EmptyDim 8 Jan - 19:29

Merci! Je n'ai plus rien à dire pour le pouvoir ou le caractère!

Pour l'histoire non plus d'ailleurs, je ne vois rien à redire à ce début. C'est bien écrit en plus. Toujours hate de lire la suite.
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MessageSujet: Re: La liberté a parfois les mains rouges de sang.   La liberté a parfois les mains rouges de sang. EmptyDim 15 Jan - 13:18

J'ai ENFIN fini ! Désolée pour l'attente, entre les devoirs, et la saleté de bouquin pour le français a lire, j'avais perdu ma motivation.
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The Director

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MessageSujet: Re: La liberté a parfois les mains rouges de sang.   La liberté a parfois les mains rouges de sang. EmptyDim 15 Jan - 13:47

HAHAHAHAHA! Je te valide donc! Tu peux commencer à RP! J'espère que tu t'amuseras bien ici (on est pas encore beaucoup mais bon...).
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MessageSujet: Re: La liberté a parfois les mains rouges de sang.   La liberté a parfois les mains rouges de sang. Empty

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